Mort de l'Abbé Pierre

C'était hier le 22 janvier 2007, et j'avoue avoir été partagée par plusieurs sentiments, d'abord l'émotion, la nouvelle ébranle forcément, puis le soulagement parce que Henry Grouès, dit l'Abbé Pierre le disait lui même, "je suis fatigué", j'ai donc été soulagée qu'il trouve le repos après tant de combats ; le sentiment le plus troublant fût celui de tristesse, oui tristesse de me dire que cette figure emblématique emportait avec lui, l'idée de combat pour certaines valeurs. Mais c'est un peu pessimiste comme réflexion, donc j'arrête là, je préfère me dire qu'il a bien mérité ce repos éternel.